Claude-Alain Granges, 54 ans, qui dessine depuis qu’il sait tenir un crayon, en fait très tôt sa passion, mais il réalise un rêve d’enfant sur le tard, puisqu’il ne se met à la peinture à l’huile qu’en 2018, après quelques cours sur les diverses techniques, puis en autodidacte.

Adepte de l’hyperréalisme, qu’il aime contrarier parfois avec des figures plus abstraites, en les mêlant, il a un faible pour les thèmes se rapportant à la nature et aux paysages. Il affectionne tout particulièrement la représentation des montagnes, de par la riche palette de couleurs, de formes, de structures qu’elles offrent.

Mais il aime également s’inspirer des motifs de la Renaissance italienne, de l’Art nouveau et du symbolisme, tels que proposés par ses plus illustres représentants, Michel-Ange et le peintre autrichien Gustav Klimt.

Récemment, il découvre l’univers polychrome du peintre contemporain autrichien Voka, précurseur du réalisme spontané. Cette rencontre picturale constitue une véritable révélation, qui l’incite à se lancer dans des portraits de grands formats de style Pop Art à l’acrylique.

Après une première participation à une exposition collective à la Vidondée, intitulée « Les Riddans ont du talent », dont il a signé l’affiche en 2022, il prend part à l’exposition « apArtés », toujours à la Vidondée, en compagnie de 5 autres artistes en 2025.

Exposer seul dans une galerie, dans un avenir proche, sa collection « Swiss Hall Of Fame », récemment initiée, constitue pour lui aussi bien un défi qu’un rêve.